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VOICES FROM THE DARKSIDE webzine:
After 14 years since issuing out their only demo the French Death Metal quintet
OLDSKULL has returned. The band consists of members of TRASHNASTY and NECROCULT
and is having this latest 6 track EP released through Nihilistic Holocaust. I
was not able to get a hold of their demo and therefore don’t have any
background musically on the band, but regardless let’s dive in to see what the
guys from Albi, France have brought to the table. Track 1 ‘Pandemic Prophecy’
starts with a barrage of thundering drums, racing guitars and a kickass guitar
hook. The band then quickly changes gears to a mid-paced rhythm, but with a
catchy melody. The vocals are guttural and engorging with venom. The
devastation continues with the EP’s title track ‘The Defeat Of Humanity’. The formula
is not much different here than on the previous track with a tempo that toggles
between mid-paced and high-speed blasting. ‘In The Name Of Science’ slows
things down a bit and has this really sick guitar solo about ¾ of the way into
the song. It kind of gives me a early ’90s SINISTER vibe in the music. ‘Spare
No One’ starts off with a killer bass guitar and drum combo that has a bit of
“Heartwork” era CARCASS vibe mixed to it. The guitars and vocals jump in soon
after and bring about a nice headbanging jam session, with again a SINISTER
vibe once again towards the middle / end of the song. ‘Good Blood’ starts with
a blitzkrieg of music and just crushes skulls. It’s a solid track with a sick
guitar solo, but overall it felt like the song was cut short coming in at less
than 2.5 minutes compared to the other songs on the EP. Last at bat is ‘Until
The Last Breath’ and to me it was the track that caught most of my attention.
Well structured and balanced with the right amount of guitar solos that didn’t
drown out any of the song’s progress. This was a fun EP to jam out to and
honestly with a solid 6 tracks with 5 out of the 6 songs clocking in around the
5-minute mark it’s close to being a full-length album. Good production, solid
musicianship, kickass song writing / structures, brutal vocals and catchy
riffs. You can’t go wrong with checking out this EP, well worth the listen.
Let’s hope they don’t wait another 14 years to crank out new material.
THRASHOCORE Webzine:
Intituler sa première démo « Death and Metal », ce n’est peut-être pas la façon
la plus originale pour débuter une carrière mais ce fut, en 2009, le choix des
Toulousains (ou Albigeois) d’OLDSKULL. Les esprits chagrins diront que
l’appellation n’est également pas des plus originales et que, puisque rien
n’est sorti en quinze ans, se rebaptiser aurait pu être une option
intéressante… Sauf que si ce n’est l’arrivée d’un second guitariste en 2019,
les musiciens sont les mêmes depuis le début, j’imagine aisément qu’ils soient
attachés à leur logo. De plus, inactivité discographique n’est pas ici synonyme
d’inactivité scénique, la formation ayant eu l’occasion, ses dernières années,
de côtoyer MERCYLESS, RITUALIZATION et même SKELETAL REMAINS. Cela laisse peu
de doute quant au sérieux de « The Defeat of Humanity » un EP proposant six
nouvelles compositions qui fleurent le bon death metal mastoc des années 90,
avec une approche davantage américaine qu’européenne.
Je passerai rapidement sur la pochette que je trouve un peu trop brouillonne,
même si on en comprend aisément l’idée générale, pour aller droit au but,
d’autant que le disque a été réédité par le label Nihilistic Holocaust où l’on
trouve souvent de jolies choses (non, ce n’est pas un hommage à Virginie
Despentes). « Pandemic Prophecy » met immédiatement l’auditeur dans l’ambiance
: il est accueilli par le son d’une explosion sourde et puissante à la suite
duquel s’enchaîne un mid-tempo radical à la production épaisse. Le chanteur
n’est pas en reste : sur cet éboulement rocheux, il descend bien dans les
graves tout en restant compréhensible, abattant d’ailleurs un gros boulot tout
au long du disque et rehaussant même de sa seule présence vocale les passages
plus convenus. Nous pourrions appeler cela du charisme, oui.
On appréciera également cette basse bien ronflante, agressive, qui apporte
toute l’épaisseur nécessaire aux morceaux. Comme quoi, même avec deux
guitaristes très présents, quand on sait bien s’y prendre les quatre cordes
s’avèrent utiles. De plus, OLDSKULL n’étant pas simplement là pour distribuer
des coups de masse sur la tronche des amateurs qui se risqueraient à tendre une
oreille, il s’évertue à proposer des chansons étoffées aux changements de
rythmes fréquents, même s’il ne va jamais jusqu’au pur blast et que les
classiques mélodies à deux guitares manquent parfois de lisibilité du fait d’un
rendu sonore surtout conçu pour cartonner les foules. Mais comme cela n’est
qu’un épiphénomène, cela n’entache en rien la qualité globale et l’on comprend
ainsi mieux que ces mecs soient des partenaires de choix pour partager une
affiche.
Bizarrement, j’ai du mal à identifier les influences principales, car il y en a
certainement : j’ai évoqué MERCYLESS et c’est vrai que je pense parfois un peu
à « Coloured Funeral » dans ses aspects les plus brutaux, aux débuts de GOJIRA
quand il s’appelait encore GODZILLA (notamment la démo « Possessed » de 1998)
et qu’il jouait du death metal sur certains passages de « Good Blood »,
peut-être aussi à des choses comme DISMEMBER sans le son suédois, voire BOLT THROWER
pour les côtés « rouleau-compresseur », bref, que des trucs solides et qui ont
fait leurs preuves depuis longtemps.
Par conséquent, ce retour en grâce d’OLDSKULL est plus qu’une bonne surprise
compte tenu de la rigueur avec laquelle ce death est exécuté, il ne reste plus
qu’à souhaiter qu’il ne se passe pas dix ans avant d’avoir un LP entre les
mains, format qui devrait être la suite logique de la carrière des Toulousains,
à moins qu’ils n’optent pour quelques splits bien underground qui, dans tous les
cas, sauront certainement satisfaire les amateurs de brutalité. C’est
clairement pour moi une super découverte, j’ai hâte de pouvoir savourer la
suite. Sosthène
GUTS OF DARKNESS Webzine:
Il y a sûrement un gouffre avec accès direct à l'enfer du death metal à
l'ancienne dans le Sud-Ouest. Par exemple, dans le Tarn, Oldskull semble bel et
bien possédé par la manie du headbanging faisant révérence et référence à tout
ce que nous avons chroniqué dans le genre obsédé par le kült macabre des Grands
Anciens cultivant accordages trop graves, ambiances rampantes, paroles
maniaques et breaks instillant le besoin de secouer son corps comme un primate
frustré par trop d'années à se coltiner de la pop et de la chanson merdique à
la radio depuis son arrivée sur cet astre qui pue du fion, comme dirait mon
pote alien de la transdimension X431 l'autre soir, il avait pris la forme d'une
éponge, et vu que j'ai un lave-vaisselle maintenant, il trouvait tout de suite
l'oxygène, la chlorophylle, homo sapiens et les oiseaux dans le ciel beaucoup
moins intéressants... mais je m'égare. Il s'égare ! Oui, si vous voulez du
death avec d'hénaurmes clins d'oeil aux standards du genre, qu'ils soient
anglais, américains ou scandinaves, eh bien faites-vous plaisir, la vie est
courte. Enfin, c'est ce que me disait mon éponge hier soir, du haut de ses
soixante six incommensurables éons... 4/6 Rastignac
CANADIAN ASSAULT Webzine:
I have been a admirer of this labels works over the years, more often than not
Nihilistic Holocaust finds bands that play death metal in the old ways. Those
bands tend to be lesser known bands that are hidden gems and the label shines a
new light on their works. That is not the case with this release, as Oldskull
is a new-ish (especially with regards to overall releases) band, and this EP is
new music being released upon the scene. The one constant that this bands fits
with is they appreciate the old metal history and it reflects their influences,
shaping them in their own way and creating new music for us to peruse. I am not
sure I would call Oldskull a deathrash band, as their overall sound and style
is surely death metal, nevertheless I find some of their style and song
construction reminds me of middle to late ‘80s thrash. It is sort of like when
some thrash bands in the late ‘80s and early ‘90s started to transform their
style and sound to death metal. There is a strong emphasis on often mid-tempo
heavy riffing, and memorable songwriting that exudes a feeling of dramatic yet
ripping death metal goodness. By that I mean the key is the song structuring
that brings out emotion, conveys action and brutality inside a package you will
remember after you have finished headbanging and hit stop on your player. The
vocals of Seb I quite enjoy on this release, his growls are powerful, measured
and very clearly enunciated with that classic dm vocal style and feel. It seems
to me this music is designed to not only grab the listener, and hold them, but
also created to be a killer experience in a live setting. Some French UG diehards
that have watched this band live can attest to whether or not I am correct (I
am confident that I am) in this assumption. This may be an EP, but it is a
meaty one that weighs in with six songs and just under 30 minutes, so you will
get real value with this purchase. I now hope the wait for the next Oldskull
release will be much shorter than in the past.
- Dale
HEAVYMETAL.NO Webzine:
Franske Oldskull startet opp for en god del år siden, men aktiviteten har vært
svært lav.
Ikke overraskende er det old school-metal som er på agendaen, og bandet kan
trygt plasseres innen death metalen. Eimen av tidlig 90-tall er åpenbar og
tilsiktet. Franskmennene har lyktes svært godt med lyden. Den rå atmosfæren er
den minner om det man finner på f.eks. Left Hand Path eller Mental Funeral, og
dette låter simpelthen suverent bra!
Når låtmaterialet heller ikke er til å kimse av, framstår Oldskull som et band
vel verdt å sjekke ut for fans av gammel death metal. Låtene er stort sett
rundt 5 minutter lange og bygges opp rundt noen få partier som er relativt
ulike slik at variasjonen er god. Så er man sterke på overganger, blant annet
vist et halvminutt uti In The Name Of Science, og dermed flyter alt godt og man
får en del veldig kule partier som får nakkemusklene i gang. Enkelte krydderier
får man også, i form av melodiøse gitarsnutter. Legg til en grom vokal som er
dyp, men ikke helt nede i kjelleren og i tillegg et pent knippe kule riff, og
du har en meget solid death metal-skive der høydepunktet kommer i form av
nevnte In The Name Of Science. 7,5/10